Témoignage d’Isabelle, intolérante au lactose

Voilà ce qui facilite la vie : prendre une gélule de « Lactolérance 1 Day » tous les jours, et on est bien !

Isabelle

Janvier 2020

Je suis intolérante au lactose (intolérance diagnostiquée par l’équipe de diététiciens de l’Institut du Cancer de Montpellier) et atteinte d’un cancer compliqué depuis 2 ans ; le « régime » de mon cancer me demandait de « bien manger de tout », mais mon régime sans lactose me privait de beaucoup de choses… Or il se trouve que mon père de 90 ans, qui depuis des décennies souffrait de maux de ventre et de diarrhées intempestives, m’a accompagnée dans mon régime sans lactose et s’est aperçu à cette occasion qu’il était lui aussi intolérant au lactose !

Il y a quelques semaines, après une laborieuse recherche, j’ai découvert le Laboratoire Physiosynthèse et essayé, en désespoir de cause, les produits Lactolérance – le résultat est concluant : « y’a pas photo », comme on dit ! Nous avons attendu 15 jours avant de nous ruer sur du fromage et autres biscuits dont nous nous privions, et d’autres produits qui presque tous sont plein de lactose ! Et, oh miracle ! Nous n’avons eu ni mal de ventre, ni vertiges, ni courantes, ni rien ! Depuis deux mois nous vivons mieux et nous avons retrouvé notre quotidien comme tout le monde ! On ne se prive plus de rien et on s’achète le meilleur : on rattrape le temps et le plaisir perdus pendant notre régime ! Mon cancer aussi me dit merci, car grâce à ça, j’ai pu reprendre 4 kilos, alors que mon cancer des os a empiré ! Papa idem, qui avait le teint pâle à force de se priver de tous les produits que leurs ingrédients nous interdisaient. Fini la vie pourrie !!! Merci et merci ! Y’a pas de mots !

Merci Lactolérance !

Les chimios liées au cancer ont beaucoup d’effets secondaires : diarrhées à répétition, nausées et vomissements pendant les jours qui suivent les perfusions. Or ne plus souffrir de mon intolérance au lactose, qui en plus du reste me mettait dans des états pas possible où nuit et jour je souffrais de maux de ventre et de l’inconfort qu’ils impliquent, ça me donne un meilleur confort de vie dans la lutte contre mon cancer : j’ai ça de moins à « porter » en douleurs et en maux divers ! Je me serais volontiers passée d’un régime supplémentaire, car quand on est dans cette maladie, il faut manger de tout ! Et avec cette intolérance, c’était pas possible et ça me pourrissait la vie !

Quant à Papa, qui a bientôt 91 ans, il revit aujourd’hui, après des années où comme moi il se tordait de douleurs dues aux maux de ventre et de diarrhées et de fatigue à force de mal dormir la nuit parce que mal de ventre dès 4h du matin ! Quand on a appris il y a quelques mois que c’était dû à une intolérance au lactose, ça a été une bouffée d’oxygène en nous !

Et mème s’il nous reste à tous les deux peu de temps à vivre, même quelques petites années, car le cancer que j’ai ne se guérit pas mais se « maintient » par des chimios et des traitements lourds pour que je puisse essayer de vivre une vie « quotidienne » à peu près normale, malgré des journées de « bas » terribles et des déplacements très lourds deux fois par semaine en centre avec mes béquilles, il est clair que tous les deux, on est sûrs maintenant qu’on va pouvoir profiter de manger tout ce qui nous fait envie. Et depuis deux mois, c’est ce que nous faisons : on profite à fond de tout ce qui est bon, le meilleur, et on ne se prive pas ! On goûte à tout, cérémonieusement, parce qu’on sait que ça ne nous fera plus mal !

Alors, merci à vous, car si on ne vous avait pas découverts, par la diététicienne de l’Institut du Cancer qui me suit, je serais encore à vivre toute la journée avec des effets secondaires de chimio et de morphine et en plus de ça, des maux de ventre et des courantes jour et nuit et qui font souffrir et fatiguent ; et dans mon cas, la fatigue est l’ennemi du corps, car le cancer en a bien profité depuis !

Isabelle

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